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Recherche par mot-clé: ESSAI

1813 résultats. Page 88 sur 91.

Lu par : Jean Frey
Durée : 11h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16213
Résumé:L'ivresse qui traverse les romans de Rabelais ; la fougue qui emporte les corps sculptés par le Bernin ; le plaisir de tête qui préside aux stratégies libertines des "Liaisons dangereuses" ; l'effervescence de la pensée et des sens à l'oeuvre dans les fictions sadiennes ; le trouble suscité par la peinture érotique de tous les temps, telle que Bataille l'a scrutée : ce livre postule un lien intime entre les plaisirs de l'art et l'art du plaisir. Rabelais, Laclos, Sade, Bataille : on n'a cessé, en France, de vouloir les censurer, les discréditer, ou, pire encore, les rendre inoffensifs. Alors qu'ils représentent ce que l'esprit français a apporté au monde de plus singulier et de plus libre ; et qu'ils sont, aujourd'hui plus que jamais, le meilleur contrepoison au déferlement de bien-pensance que nous subissons. Ceux que j'évoque ici, pourtant, n'ont pas élaboré de morale hédoniste à proprement parler. Romanciers, artistes, c'est d'abord l'imagination qu'ils sollicitent, plus que la conscience ou la raison. D'où une réflexion, en contrepoint, sur l'art du roman, sa lucidité spécifique, son aptitude à dissoudre les préjugés. L'horizon indiqué, en tout cas, est celui d'un plaisir paradoxal : à la fois sans innocence et sans culpabilité.
Durée : 2h. 4min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15010
Résumé:A tous ceux qui se plaignent de ne pas avoir le temps de lire, Henry Miller fait quelques suggestions pleines de bon sens : lisez dans les transports en commun ou, mieux encore, aux cabinets ! N'est-ce pas là un endroit calme où personne en vous dérangera ? Après tout, puisque nous sommes obligés d'y aller, pourquoi ne pas profiter au mieux du temps que nous y passons ? Pourtant, à bien y réfléchir, ce n'est peut-être pas une si bonne idée... Miller s'invite dans notre intimité et se livre à quelques réflexions désopilantes en mêlant souvenirs et anecdotes sur les cabinets... de lecture.
Lu par : Liliane Pierré
Durée : 2h. 37min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14862
Résumé:"Je l'ai toujours su, au fond de moi, qu'il avait raison. Mais, lui-même, de le savoir, ça lui déplaisait, ça l'agaçait. Il n'aimait pas cette idée. Il parlait peu. Il n'écoutait que d'une seule oreille. Juste pour ne pas manquer - si elle venait un jour - la démonstration qu'il avait tout faux. Et je crois bien qu'il avait sacrément raison..."
Durée : 2h. 4min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14897
Résumé:Une jonque qui transporte une troupe de comédiens accoste un jour dans l'île où vivent nos amis Jeanne, son frère Thomas, M. Henri... Le soir-même, ils jouent 'Roméo et Juliette', faisant rêver d'amour tous les habitants de l'île. Le lendemain, stupeur ! la jonque est partie. Elle a emporté avec elle les accents et les épices. L'île découvre alors comme la vie est morne sans eux. Comment avaler, jour après jour, du riz sans safran ? Comment s'émouvoir ou s'émerveiller s'il n'y a plus d'accent aigu sur le e ? Jeanne décide de partir à leur recherche, d'autant plus que son frère s'est embarqué avec la troupe pour travailler comme souffleur. Son périple va la mener jusqu'en Inde, dans une vallée magique où se réunissent chaque année des comédiens du monde entier pour un festival secret de théâtre et d'épices. Ne viendraient-ils pas là pour se faire épicer ?...
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 7h. 15min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14975
Résumé:Où commence le plagiat ? Où se termine l'inspiration ? La négritude est-elle le virus de notre littérature ? Peut-on détourner, sans risque judiciaire, le destion des héros de la fiction ? Madame Bovary, Bécassine, Tarzan, Don Juan, Tintin, d'Artagnan peuvent-ils connaître de nouvelles aventures ? a-t-on le droit de fixer des limites à la liberté d'expression ?
Lu par : Anik Friederich
Durée : 3h. 38min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15268
Résumé:Quatrième de couv. : "Le siège est le meuble humain par excellence", décrète l'auteur, pour avoir un jour regardé d'un oeil neuf une pile de tabourets. A mi-chemin entre l'horizontalité et la verticalité, il explore les multiples dimensions de ces meubles qui contribuent à dresser les écoliers, finissent sur les tables à l'heure où ferment les bistrots et tiennent le devant de la scène chez Ionesco. Du trône célèste aux sanisettes parisiennes, de la chaise haute du bébé au Louis XVIII du centenaire, l'auteur nous promène à travers le temps, l'histoire, les symboles de la vie quotidienne. Ponctué de remarques et de souvenirs personnels, cet essai se lit comme le plus captivant des récits ; il s'empare de nous et nous emmène, dans un fauteuil à travers un véritable état de sièges. Jean-Bernard Vuillème, écrivain et journaliste, vit à la Chaux-de-Fonds. Il s'est fait connaître par des romans, des nouvelles et des écrits pleins d'ironie et proches de l'ethnologie sur la société d'aujourd'hui.
Lu par : Denise von Arx
Durée : 6h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15036
Résumé:Quatrième de couv. : Si Lausanne ne fut jamais vraiment un haut lieu de littérature, la capitale vaudoise n'en a pas moins été, du Moyen Age à nos jours, le cadre d'une activité constante de l'édition et de la vie littéraire, avec des échappées sur l'Europe entière. Qualifiée de "petite Athènes du nord" au temps de Voltaire, notre ville vit naître au début du XXe siècle, avec C.F. Ramuz et les Cahiers vaudois, une littérature romande à part entière marquée par la triple influence de la Réforme, du romantisme allemand et du goût français. Les grandes aventures de La Guilde du Livre et de Rencontre, avant l'essor impressionnant de l'édition romande dans les années soixante, ont permis à plusieurs générations d'écrivains de s'exprimer et de trouver un public. Après une évocation de Lausanne à travers ce que les écrivains en ont écrit, un portrait caustique de l'âme romande, un bref apreçu de chaque époque et un hommage aux artisans et passeurs du livre, ces Impressions d'un lecteur à Lausanne invitent à la découverte plus détaillée des oeuvres contemporaines foisonnant à l'enseigne de la "seconde jeunesse" annoncée.
Durée : 4h. 13min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13106
Résumé:Barilier émet d'emblée une hypothèque, l'Europe est atteinte de narcissisme et si elle l'avait un peu oublié, le 11 septembre 2001 a eu tôt fait de remettre les pendules à l'heure, obligeant chacun à affirmer clairement sa position au sein des autres. On a pu voir le chaos provoqué et la belle entente de façade se lézarder de toutes parts. Parallèlement à cette notion de civilisation européenne dans laquelle Barilier donne un bon coup de pied, on y trouve également un développement intéressant de ces notions de bonne civilisation et mauvaise civilisation (ça ne vous rappelle pas les propos d'un certain Berlusconi sur la civilisation arabe ?), et aussi de fossé infranchissable séparant les deux. Les attentats américains dont on parlera encore longtemps seraient-ils une riposte des mauvais envers les bons, comme les faiseurs de guerre nous l'ont fait croire ? Si un s'est défendu (même via le terrorisme), n'est-ce pas parce que l'autre l'avait provoqué, Et donc, en filigrane, est-ce bien fait ? L'antiaméricanisme latent qui n'attendait que d'être réveillé a-t-il profité de l'occasion ? La question a le mérite d'être posée et Barilier se garde bien de donner la vérité suprême en la matière. Il préfère analyser les propos de l'écrivain bengali Arundathi Roy qui considère Al-Qaïda comme le simple effet miroir d'une mondialisation économique tout aussi violente. Ou Noam Chomsky, comparant le 11 septembre 2001 à une pacotille à côté de toutes les exactions et horreurs dont les Etats-Unis sont responsables un peu partout dans le monde. Une théorie à laquelle j'adhère volontiers mais ce faisant, ne cautionne-t-on pas indirectement violence et terrorisme? sahkti@hotmail.com /zazieweb.fr
Lu par : Jean Frey
Durée : 12h. 39min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13220
Résumé:Quatrième de couverture : [...] essai d'élucidation de la création littéraire et artistique, mais encore une recherche précise de ce qui est en jeu pour l'homme d'aujourd'hui, par le fait que "quelque chose comme l'art ou la littérature existe" : descente vers la profondeur , approche de l'obscurité, expérience de la solitude et de la mort. [...]
Lu par : Lucienne Grob
Durée : 4h. 59min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 14960
Résumé:Résumé : Par le biais de la farce et à partir de témoignages, ce conte philosophique fustige les coachs et les gourous qui prétendent rendre les gens heureux et épanouis. Il dénonce les arnaques et le totalitarisme rampant qui peut se cacher derrière les méthodes de développement personnel et montre que si le bonheur s'apprend, ce n'est pas de cette manière.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 2h. 52min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 14878
Résumé:Résumé du livre : Le combat pour la consommation gratuite de musique, de films et de livres a réuni en France deux camps que tout sépare : les partisans de l'absolutisme du marché et les contempteurs radicaux du capitalisme. Les hyper-libéraux ont fourni la caution économique et technologique, tandis que les libertaires portaient le drapeau de la fraternité. Comment cette sainte-alliance contre nature des antimodernes et des ultra-capitalistes s'est-elle formée lors des combats législatifs et des débats sociétaux en matière de cybergratuité ? Selon l'auteur, la culture est aussi une marchandise...
Lu par : Carole P.
Durée : 1h. 17min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14875
Résumé:La fatigue soudain saisit l'enfant au milieu des siens, puis c'est la fatigue mortelle des cours morts de l'université ; mais il y a des fatigues plus profondes, plus intérieures, séparatrices et révélatrices à la fois. Cette fatigue-là creuse les êtres et leur donne aussi une présence nouvelle : c'est la clairvoyance de la fatigue. Elle peut rassembler pour un moment autour d'une entreprise commune - une batteuse -, mais il y a aussi les infatigables, les tueurs survivants de l'extermination, frais et dispos, et leurs guillerets descendants. La fatigue peut être tranquille mais la fatigue la plus grande naît peut-être à la vue de la cruauté toute simple, quotidienne. La fatigue donne forme au monde, elle aiguise la perception, elle établit une infranchissabilité réciproque entre les êtres, mais par là aussi une communication.
Durée : 5h. 13min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 14650
Résumé:Publié en 1930, ce récit est un essai, rédigé sur le mode de la visite touristique, dénonçant le mode de vie des Américains : une mise en garde lancée contre les avancées de la science, de l'industrie et du commerce qui ne sont pas forcément porteurs d'une amélioration de la vie de l'humanité. Georges Duhamel (1884-1966) fut médecin, mais aussi essayiste, romancier, poète, et auteur dramatique. Elu membre de l'Académie française en 1935, il est surtout connu pour son humanisme moderne et son pacifisme ardent. Prix Goncourt en 1918.
Durée : 1h. 32min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 14696
Résumé:L'oeil et l'Esprit est le dernier écrit que Merleau-Ponty put achever de son vivant. Installé, pour deux ou trois mois, dans la campagne provençale, non loin d'Aix, au Tholonet, goûtant le plaisir de ce lieu qu'on sentait fait pour être habité, mais surtout, jouissant chaque jour du paysage qui porte à jamais l'empreinte de l'oeil de Cézanne, Merleau-ponty réinterroge la vision, en même temps que la peinture. Il cherche, une fois de plus, les mots du commencement, des mots, par exemple, capables de nommer ce qui fait le miracle du corps humain, son inexplicable animation, sitôt noué son dialogue muet avec les autres, le monde et lui-même - et aussi la fragilité de ce miracle. (Claude Lefort)
Lu par : Henriette Kunzli
Durée : 2h. 31min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14646
Résumé:Sous forme d'une sorte de poème, c'est ici non pas l'auteur mais le livre lui-même qui s'adresse au lecteur, et lui propose un contrat : couper pour un moment tout lien avec le monde extérieur, et se laisser porter par les phrases. Le voyage qu'il nous propose nous fait survoler la terre et la mer, les déserts, les montagnes, les villes. Religions, fascination pour la technologie, drogues : tout ce que les hommes cherchent pour s'évader d'eux-mêmes défile au long des pages. Le livre, quant à lui, affirme qu'il peut lui aussi nous aider à sortir de nous-mêmes, mais en nous respectant, en nous laissant libre de mener notre quête intérieure. Réflexion sur le rapport du lecteur au livre dans sa matérialité et son intimité...
Lu par : Pierre Biner
Durée : 4h. 51min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14915
Résumé:Résumé du livre : En vingt-trois chapitres parfaitement emboîtés, tressés de citations, de lectures, de films, de faits historiques, il tente de définir ce que pourrait être un 'nouvel homme des lumières'. Comment ne pas se laisser 'dominer par l'espèce' ; comment sublimer notre part sombre, faite de violence et de ressentiment ; comment agir en homme libre. Bref, comment ne pas donner prise à la culture du 'malaise dans la civilisation', pente si courante dans un temps qui a connu les totalitarismes, la terreur, l'abjection ?
Lu par : Denise von Arx
Durée : 4h. 35min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14621
Résumé:Première parution philosophique de l'auteur, il utilise le mythe de Sisyphe comme une illustration de ce qu'est l'absurde. Les dieux avaient condamné Sisyphe à rouler sans cesse un rocher jusqu'au sommet d'une montagne d'où la pierre retombait par son propre poids. Ils avaient pensé avec quelque raison qu'il n'est pas de punition plus terrible que le travail inutile et sans espoir. Camus se sert du mythe pour décrire l'attitude de l'homme confronté à l'absurde de la condition humaine.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 3h. 36min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15110
Résumé:
Durée : 3h. 32min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14570
Résumé:Présentation de l'éditeur : Ecrivain singulier, inclassable, humaniste et étonnamment moderne, Montaigne prône la tolérance. Mêlant expérience personnelle, commentaires moraux et réflexion, il offre une vision de l'homme toujours en mouvement, sans préjugés, à la fois fort et fragile. D'une grande liberté d'écriture, Montaigne nous offre quelques pages pleines de malice et de sagesse pour nous aider à conduire notre vie.
Lu par : Serge Vulliens
Durée : 3h. 17min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14655
Résumé:Dans notre siècle qui valorise tant l'intelligence, le courage est, du moins en France, comme l'explique Jean-François Deniau, une valeur quelque peu oubliée. Il cite des exemples exceptionnels de courage. Ainsi cet homme qui tombe à l'eau en plein milieu de l'océan en pleine nuit. Il calcule le temps qu'il faudra pour qu'on se rende compte de sa disparition et que le bateau fasse demi-tour. Et il nage, il nage en attendant. Et miracle, à l'instant prévu, le bateau arrive et il est sauvé.